Risques de la vaccination


L’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament produits de santé (abrégé ANSM) donne un avis de première importance. Cliquez ce lien. L’ANSM est une instance officielle , un établissement public français. Sa mission principale est d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments et produits de santé destinés à l’être humain : on parle de pharmacopée. Elle est aussi l’autorité unique en matière de régulation des  recherches biomédicales.  

Une grande partie des anti-vaccinations mettent en avant le fait qu’ils ne font pas confiance aux autorités et mettent en avant le manque de recul sur les vaccins. Ont-ils les connaissances scientifiques pour juger ? L’agence compte environ 1 000 salariés auxquels s’ajoutent 2 000 experts réguliers ou occasionnels. Son budget de plus de 150 millions d’euros provient pour l’essentiel des taxes et redevances prélevées sur l’activité de l’industrie pharmaceutique. Son fonctionnement et plus particulièrement son indépendance vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques font souvent l’objet de critiques (d’après Wikipedia). Notre pays est victime des mensonges proférés sur divers sujets, non seulement dans la gestion de la crise de la CoVid19 mais aussi dans d’autres cas où on a caché la nocivité de certains pesticides. Je fais allusion au chlordecon dans les bananeraies des Antilles, entre autres. Ces substances ne relèvent pas de la pharmacopée

L’ANSM doit recouvrer sa crédibilité entachée par divers scandales de substances médicamenteuses depuis une quarantaine d’années (Distilbène, dépakine, etc.).

Il y a un long travail à faire auprès du public pour le convaincre du sérieux et de la fiabilité des contrôles exercés par l’ANSM et son homologue européen l’Agence Européenne des Médicaments (AMEA). Dans le cas des vaccins utilisant la technologie ARN (Comirnaty-Pfizer et Spikevax-Moderna),  ils ont été administrés à des millions d’être humains qui ont été protégés dans le monde entier. Les réponses au questionnement du moteur de recherches Google ne donnent aucune réponse pertinente sur la morbidité des vaccins à ARN.

Il faut que les patients considèrent que ” les bénéfices (de la vaccination) l’emportaient clairement sur les risques potentiels” et que la probabilité que cela se produise est très faible “. 

En conclusion, c’est au patient de choisir dans le cas où aucune autorité ne veut s’engager. Evaluer les bénéfices et les risques !


Raymond GIMILIO
vice-Président de l’AFSGB
Docteur non-médecin en Sciences biologiques
Cadre technique supérieur de la Recherche (IR-CNRS, ER)
Ancien patient SGB-PRNAC (2019)




La déclaration de Monsieur Macron malvenue

Armoiries de la République

Monsieur Emmanuel Macron s’est récemment exprimé (4 janvier 2022) dans une interview au Parisien. IL a déclaré « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder ». Il a employé un langage scatologique indigne d’un Président de la République française. Cette déclaration complètée par la qualification des non-vaccinés de mauvais citoyens est très mal reçue ici dans notre Association.

S’il y a des gens qui, pour des raisons diverses, ne veulent pas se faire vacciner, volontairement, il existe une frange de la population qui dispose de motifs médicaux sérieux de refuser cette vaccination qui menacerait sa vie et qui devraient être tranchés par des avis médicaux. Tous les non-vaccinés ne sont pas à mettre dans le même sac et les co-morbidités qui aggravent la CoVid19 pourraient aussi aggraver les réactions à la vaccination. Parmi ces co-morbidités figurerait le Syndrome de Guillain-Barré-Strolh (SDB) et toutes ses formes neurologiques, ce syndrome qui est la cause des maladies de ceux qui nous ont appelé ces jours ci, indignés. Car il est maintenant rendu public que la vaccination anti-Covid19 a provoqué des cas du syndrome. Voyez cet article.  Nous en avons fait un extrait : 

« Un certain nombre de virus ont été associés à l’apparition d’un syndrome de Guillain-barré : c’est le cas des virus de :

    • la grippe,
    • du Cytomégalovirus,
    • de l’Epstein-Barr Virus (mononucléose infectieuse),
    • et, récemment, du virus de la Covid-19.

“Le deuxième type de déclenchement peut-être ce qui provoque une réaction immunitaire, par exemple les vaccins, notamment celui contre la grippe ou contre la diphtérie même si cela est moins fréquent aujourd’hui car les vaccins sont plus purifiés” ajoute le médecin. ».

Nous renvoyons les personnes qui nous consultent (les consultants) vers leur médecin traitant, celui qui les connait, les suit. Nous avons dénoncé dans nos multiples interventions que des médecins traitants ignorent (ou ont oubliés) ce qu’est le SGB. Egalement, nous avons dénoncé la même ignorance de la part des centres régulateurs des SAMUs dont les conséquences sont des pertes de temps par suite d’orientations non pertinentes qui retardent les prises en charge. Personne ne veut se mouiller et conseiller la personne, le patient. Doit-on conseiller ou non la vaccination ? Personne ne se prononce, les Agences régionales de la Santé sont aux abonnés absents ! Le Ministère ? 

Qui peut ou veut se prononcer ?

Monsieur le Président, vous n’êtes qu’un banquier, un épicier de la finance. Vous n’avez fait que des études superficielles de biologie dans contre cursus secondaire ! Si tous les être humains, hommes et femmes, ont en commun un genôme de base, leur susceptibilité aux maladies et aux vaccins n’est pas la même. Si vous et votre fichue administration de la santé n’êtes pas capable de comprendre ceux qui vous interrogent, excusez vous et faites preuve de discernement et d’empathie, modérez votre langage, excusez vous ou partez ! 

 


Raymond GIMILIO
vice-Président de l’AFSGB
Docteur non-médecin en Sciences biologiques
Cadre technique supérieur de la Recherche (IR-CNRS, ER)
Ancien patient SGB-PRNAC (2019)

P.S. : j’ai été victime du SGB forme PRNAC (polyradiculonévrite aigüe chronique) fin septembre 2019. J’ai pris mes responsabilité : j’ai subi 3 vaccinations avec le vaccin PFIZER et la vaccination anti-grippe. Je n’ai pas le droit de conseiller quiconque, n’étant pas médecin et ne voulant pas être accusé d’exercice illégal de la médecine. Mon médecin traitant, lui, a pris ses responsabilités : c’est une sainte, digne de son serment d’Hippocrate.