Bonjour,
J’ai été hospitalisé le 30 septemble 2019 au CHU de Montpellier “Gui de Chauliac”, le diagnostic a été établi le 1er octobre par EMG, confirmé par une ponction lombaire et traité par échanges plasmatiques, admis en réducation en hôpital de jour. Les soins ont cessé le 22 février 2020.
Le 31 mars 2023, j’ai passé des examens de contrôle au dit CHU : déclaré guéri !
Ne perdez pas espoir ! On guérit.

Apiloup,

Quel est votre problème ? De quoi avez-vous besoin ?

Un forum est un lieu où on ne doit pas se contente d’attendre. Si nous ne posez pas de questions où si vous n’apportez pas votre témoignage, nous ne pouvons pas deviner et apporter des réponses.

Utilisez le formulaire de contact de ce site : https://syndrome-guillain-barre.fr/contacts/

Cordialement votre.

D’après le site du “Vidal”, nous citons :

“Les papillomavirus humains (HPV) sont transmis au cours des relations sexuelles. La majorité des hommes et des femmes sont infectés par des papillomavirus au cours de leur vie et l’infection passe le plus souvent inaperçue. Les femmes qui ont débuté leur vie sexuelle très jeunes et celles qui ont eu de nombreux partenaires sexuels présentent un risque plus élevé de contamination par ces virus. Ces infections sont impliquées dans la survenue de différents cancers génitaux (cancer du col de l’utérus, de la vulve, du vagin, du pénis), de cancers de l’anus et de cancers oropharyngés.“

Le gouvernement a entamé une campagne de vaccinations qui concerne les jeunes enfants (11 ans, garçons et filles).

Un cas nous a été signalé récemment (nous ne divulgons pas les noms ni les lieux) d’un jeune garçon (11 ans) vacciné contre le HPV et qui déclenché un SGB. A l’AFSGB nous ne sommes pas antivaccins. Que faut-il faire ? Entre la protection contre une maladie grave et des effets secondaires qui peuvent être graves, quelle attidude ? Nous citons un extrait du site “Vaccinations info-services” dans la rubrique “Effets indésirables” :

“En France, une étude nationale portant sur une cohorte de 2,2 millions de jeunes filles âgées de 13 à 16 ans a été réalisée par l’ANSM et l’assurance maladie. L’ensemble de ces études n’a pas montré d’augmentation du risque de maladies auto-immunes en lien avec la vaccination. Cependant, une augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré après vaccination anti-HPV apparaît probable d’après les résultats d’une seule étude.”

A vous la parole. Les SAMUs doivent en être informés en vue de bien orienter les patients vers les bonnes équipes soignantes. Il faut cesser de considérer le syndrome GBS et ses formes comme une maladie anodine !

Le Manuel MSD grand public (nous citons) “Publié pour la première fois en 1899 sous forme de petit livre de référence pour les médecins et les pharmaciens, le Manuel s’est développé et a élargi sa portée pour devenir l’une des ressources médicales complètes les plus largement utilisées par les professionnels et le grand public. Au fur et à mesure de son évolution, le Manuel a élargi la portée et le choix de ses offres afin de refléter la mission consistant à fournir les meilleures informations médicales du jour à un grand nombre d’utilisateurs, dont des professionnels médicaux et des étudiants en médecine, des vétérinaires et des étudiants en sciences vétérinaires, ainsi que le grand public.”.

J’ai été frappé du syndrome de Guillain-Barré lors d’un séjour dans les émirats en décembre 2021.
Je viens de rejoindre l’Association Française du Syndrome de Guillain-Barré.

Bonjour,
Je suis un malade supposé guéri. Vice-Président de l’Association Française du Syndrome de Guillain-Barré. Webmaster de ce site.

Connection comme gbmod

Le syndrome de Guillain-Barré-Strolh est une atteinte neurologique, une maladie auto-immune dans laquelle l’organisme s’attaque aux nerfs moteurs, en commençant par l’enveloppe des fibres nerveuses. Cette enveloppe se nomme la gaîne de myéline. L’évolution qui attire généralement l’attention des malades et de leur entourage est un ensemble de paralysies molles. La paralysie des membres survient plus ou moins rapidement.

Raymond GIMILIO
Au retour d’un voyage en Espagne le 6 juin 2019, j’ai été victime d’une grippe d’arrière-saison. J’ai consulté, été soigné dans une clinique de Montpellier. En juillet, j’ai commencé à être réveillé la nuit par des crampes aux jambes. Puis, en août, j’ai commencé à avoir des pertes de force dans les mains et les jambes. J’ai mis celà sur le compte de la canicule et continué mes travaux de maçonnerie à la campagne.